138.

Nyomtatóbarát változat

138 — La force d’âme en toi, rencontrant la même force du dehors, n’arrive pas à harmoniser l’intensité du contact en termes d’expérience mentale et d’expérience corporelle ; par suite, tu éprouves une douleur, un chagrin ou un malaise. Si tu es capable d’apprendre à ajuster les réponses de la force en toi‑même aux questions de la force dans le monde, tu t’apercevras que la douleur devient agréable ou qu’elle se change en pur délice. La relation juste est la condition de la félicité, ritam la clef de l’ânanda.

 

Les êtres humains ont l’habitude de baser leur relation avec les autres sur les contacts physiques, vitaux et mentaux, c’est pourquoi il y a presque toujours discorde et souffrance. Si au contraire ils basaient leurs relations sur les contacts psychiques (d’âme à âme), ils s’apercevraient que derrière les apparences troublées, il y a une harmonie profonde et durable qui peut s’exprimer dans toutes les activités de la vie et grâce à laquelle le désordre et la souffrance seraient remplacés par la paix et la félicité.

28 août 1969

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