134.-136.

Nyomtatóbarát változat

134 — Quand tu es capable de voir combien la souffrance est nécessaire à la félicité finale, l’échec à la réalisation totale et le délai à la rapidité ultime, alors tu peux commencer, si vaguement que ce soit, à comprendre quelque chose à la façon dont Dieu travaille.

135 — Toute maladie est un moyen d’arriver à une nouvelle joie de santé, tout mal et toute douleur, une préparation de la Nature à une béatitude et à un bien plus intenses, toute mort, une ouverture sur une immortalité plus vaste. Pourquoi et comment doit-il en être ainsi, tel est le secret de Dieu que seule l’âme purifiée de l’égoïsme peut pénétrer.

136 — Pourquoi ton mental ou ton corps souffrent-ils ? Parce que ton âme, derrière le voile, souhaite la douleur et y trouve une félicité ; mais si tu veux — et si tu persévères dans ta volonté —, tu peux imposer à tes éléments inférieurs la loi de l’esprit et sa félicité sans mélange.

 

Il n’y a qu’à tenter l’expérience et persévérer dans l’effort ; alors on trouvera que ce qui est affirmé ici est tout à fait vrai.

19 août 1969

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